La découverte de Tozeur, à partir du hublot de, est une première surprise. Le sol est ocre, totalement aride. C’est bien le désert, pourtant parsemée de tâches vertes : les oasis… Du haut, vous percevez l’immensité de la palmeraie de Tozeur, bien plus grande que la ville même… Vous êtes ici dans le Djerid, région d’oasis au peuple essentiellement sédentaire.

Le Nefzaoua, vers lequel vous vous dirigerez, est également une région d’oasis. Certaines palmeraies, comme celle de Douz ou de Sabria, sont plus récentes. Elles n’ont été plantées qu’avec la sédentarisation des peuples nomades. Ici, le sol est de sable. Vous êtes à l’orée du grand Sahara et de ses dunes majestueuses…

Entre les deux, le chott el Djerid, immense étendue salée parfois remplie d'eau. Si une route surélevée permet de la traverser si facilement aujourd'hui, cela l'était beaucoup moins il y a simplement une vingtaine d'années. L'état des pistes était fluctuant selon le temps. Le chott, que les pluies transforment en lac, ne pouvait souvent pas être traversé en hiver…

110 km séparent Tozeur et Douz. Il vous faudra à peine 2 heures pour les relier, sur une belle route goudronnée, en traversant des paysages époustouflants.

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