La première halte sous les palmiers : la veille on était à Paris, et là, on a chaud et soif. On s’arrête et ça fait du bien.
La tente dans le désert, la chaleur qui tombe avec le soir et le sable qui fraichit
Le sable si doux que l’on voudrait toujours marcher pieds nus (jusqu’au moment où on se blesse avec un bout de bois !)
La vie là où on ne l’attend pas : la caravane croise un berger très loin de l’oasis (enfin, d’après nous…), des chamelles, un oiseau s’envole d’un buisson au milieu d’un grand silence,…
La grande tranquilité des chameliers pour qui tout cela est habituel et simple.
La gentillesse de ces nomades, serviables mais pas serviles, car toujours fiers de ce qu’ils sont
La facilité avec laquelle les enfants s’adaptent (il fait 33°C, et ils mangent et boivent chaud, et de plus une nourriture à laquelle ils ne sont pas du tout habitués) et trouvent ce voyage « évident »
La partie de foot dans le désert : « il est trop fort Mohammed », nous disent encore les enfants.
Les oranges que j’ai pelées pour toute la famille : je n’ai jamais pelé et mangé autant d’oranges en une semaine.

Claire
"Méharée & Séjour à Douiret" - Avril 2006

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